Communiqué – 22/10/21
Pour des raisons de problématiques internes à l’OCVH / Le Sonambule, nous sommes dans l’obligation d’annuler le concert d’Antoine Tato Garcia + Ëda Diaz initialement prévu ce jour, vendredi 22 octobre à 21h.
Cette décision n’affecte en rien notre volonté et notre motivation de vous accueillir prochainement au Sonambule.
Les personnes disposant d’un billet seront automatiquement et intégralement remboursées sur le compte ayant servi à l’achat.
Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter : billetterie@lesonambule.fr
Nous ne manquerons pas de vous tenir informé.e.s de notre situation prochainement.
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Entre émotion et flamboyance, intensité et magie, la musique d’Antoine « Tato » Garcia est un vibrant appel à s’affranchir des frontières, géographiques ou artistiques, et à s’ouvrir au partage et à la fête.
Avec son nouvel album « El Mundo », Antoine « Tato » Garcia explore une rumbason résolument moderne. Une rumbason où il se libère des codes de la rumba catalane classique pour surfer sur le son cubain et le jazz méditerranéen. Cette synthèse conduit l’artiste à proposer un jeu plus ouvert harmoniquement et résolument tourné vers les polyrythmies qui ont bercées son enfance. Des ballades, empreintes de chants mélismatiques, aux envolées lyriques, en passant par des traits de guitares énergiques et mélodieux à la fois.
Pas étonnant que le cinéma se soit emparé de ses chansons pour en faire de sublimes accompagnatrices d’images de Tony Gatlif (Exils ou Geronimo), Alexandre Arcady (Ce que le jour doit à la nuit), ou encore Agnès Jaoui (Place publique).
« El Mundo » est un album qui s’avère la synthèse parfaite d’une virtuosité totale, d’atmosphères intimistes ou légères et de cette fiesta gitane qui donne au quotidien de jolies couleurs.
+ Ëda Diaz
Pétrie de tradition latine, la chanteuse et contrebassiste franco-colombienne Ëda Diaz nous plonge dans l’intimité de son univers à l’élégante profondeur et ponctué d’accents électroniques. Son premier EP respire le goût du grand écart, de la puissance d’une Lhasa de
Sela à l’onirisme de Björk, en passant par l’élégance d’une Omara Portuondo. Ëda
exprime ainsi une recherche profonde en tant que binationale, musicienne et femme.
Ëda Diaz contrebasse, chant
Anthony Winzenrieth guitare
Yoann Danier batterie
