BARRUT

Si vous aimez: les grands espaces, la poésie et les frissons !
BARRUT
La Part de l’orage
Polyphonie occitane - Percussions
+ LULA HELDT
Vendredi 17 septembre 2021
21h
Ouverture des portes: 19h
Le Sonambule
2 avenue du Mas Salat - 34150 GIGNAC
En salle
Assis
Tarifs: 16 - 13 -5€

Bête sonore composée de trois femmes et quatre hommes qui font corps, Barrut est un animal sauvage et poétique, qui pleure parfois, rugit souvent.

Dans une symphonie puissante, la bête fait résonner ses luttes intimes et politiques à travers pamphlets, fables, épopées, et autres chroniques poétiques du monde d’aujourd’hui.

La part de l’orage est un spectacle radical et massif, traduisant en voix les luttes politiques et intimes de la bête Barrut. Plus la bête grandit, moins elle est sage. Plus ses visions d’horreur et de sang sont prégnantes, plus son envie de sueur exutoire est grande. Elle est possédée cette bête…des crocs, des babines, des poils hirsutes, et un cri toujours plus rauque, toujours plus entier. Parfois, elle se blesse. Alors elle devient dangereuse, certes, mais cherche aussi à soigner, à se soigner. Sa voix prend alors l’âge des mères, et berce les morts et les vivants dans un vague espoir que la douleur cesse. A la radicalité des mots, répond celle de la musique, écrite et construite pour porter ces récits entiers et engagés, dans une production sonore permettant aux voix et aux percussions de coller au plus près du discours.

« Sept voix qui chantent leurs compositions en occitan, s’interpellent, se répondent, se chevauchent, qui doucement nous envoûtent pour mieux, ensuite, rugir et nous entraîner dans leurs luttes intimes, politiques et universelles. » France bleu, mai 2021

Pour en savoir + 

 

Avec le soutien de La Préfecture de la Région Occitanie, La Région Occitanie, Le Département Hérault, le CNM

Coproduction Le Sonambule, Chai du Terral, Art Cade, Bouillon Cube

+ LULA HELDT

Lula Heldt est une artiste inclassable dans son genre musical. Elle vit ses influences, tsigane, jazz, opérette, à la manière d’une Nina Hagen déjantée ! Dans son nouveau répertoire Bains de lunes, elle nous invite au cœur de son intime poésie… Là où les mots deviennent cascade au fil des notes et où les onomatopées prennent du sens…

Poly-instrumentiste, elle s’accorde avec Alfred, son violoncelle venu tout droit de Roumanie, sans archet, à la manière d’une contrebasse de quinte.
L’humour s’invite à l’onirisme.

En résidence du 13 au 17 septembre au Sonambule.